Ce début de semaine, dix banques cantonales ont annoncé rejoindre le programme américain. PostFinance a précisé vendredi qu’elle s’inscrivait au sein de la catégorie 2 du programme. Retrouvez notre récapitulatif des banques qui se sont annoncées à ce jour

C’est court, précis, passionnant, mais triste – qui pourrait se réjouir de la tragédie française? Jean-Philippe Delsol, avocat fiscaliste, qui a créé un bureau qui compte environ 80 avocats, et qui avait déjà signé «A quoi servent les riches», fera plaisir à de nombreux lecteurs avec son nouveau livre

Confirmation en appel d’un jugement sur mesures provisionnelles. Cette décision n’empêche toutefois pas de manière générale Credit Suisse de continuer à collaborer avec les autorités américaines

Les frais de gestion de fortune dans la prévoyance professionnelle vont devoir être indiqués très clairement. Une contrainte supplémentaire.

Steen Jakobsen. Les prévisions du chef économiste de Saxo Bank sont très politiquement incorrectes. Une seule s’est réalisée en 2013.

Shelby du Pasquier, avocat chez Lenz & Staehelin, déplore que le programme incite les banques à rejoindre la catégorie 2, même si elles n’ont que peu de clients américains. PostFinance a rejoint le deuxième groupe. Raiffeisen hésite entre la catégorie 3 et 4

La BCGE et la BCV ont annoncé lundi avoir opté pour la catégorie 2 comme conseillé par la Finma. Toutes deux n’ont effectué, pour l’heure, aucune provision en cas d’amende

Les banques qui n’ont pas conspiré doivent fermement rejeter la proposition des Etats-Unis. C’est la seule solution dont l’effet sera positif.

L’atmosphère déprimée régnant sur la place financière suisse s’éternise. L’échéance tant redoutée d’hier sur la communication au régulateur quant à la participation des banques à l’US Program n’a fait qu’ajouter à la confusion. Et la confusion au découragement (quand ce n’est pas la révolte).

A trois semaines de la date butoir, Eveline Widmer-Schlumpf a exclu toute renégociation ou toute suspension de l’arrangement avec les Etats-Unis

Les banques souhaitant s’inscrire au sein de la catégorie 2 du programme américain devaient s’annoncer avant lundi 17h à la Finma

Le modèle de financement du conseil bancaire n’est aujourd’hui plus adapté. Vecteur de différenciation dans les activités de gestion de fortune, le conseil devra, dans un avenir proche, faire l’objet d’une facturation spécifique

Pourquoi il est impératif que le législateur établisse un statut pour les sociétés d’investissement (trusts, family offices etc.)

La transformation du secteur financier continue et touche particulièrement les métiers de gestion de fortune actuellement confrontés à une remise en question significative de leur modèle d’affaires. Imaginons trois modèles: une spécialisation dans le conseil, les produits et la technologie

Dans la concurrence réglementaire, la Suisse peine à adapter sa législation. Les dernières tentatives de l’Association suisse des trusts jettent une lumière surprenante sur la réticence des autorités à défendre la place financière

Us program. Les différentes échéances (Finma, catégorie 2, catégories 3 et 4) ouvrent des opportunités stratégiques. Non sans risque.

Alors qu’ils doivent avertir la Finma ce lundi de leurs intentions concernant le programme sur les clients américains (lire en page 3), les intermédiaires financiers se demandent comment réagira le régulateur en recevant des décisions de non-participation. Certains craignent des mesures de...

Les activités de banque privée outre-Rhin sont vendues à Bethmann Bank, filiale d’ABN Amro. 9000 clients sont repris par cet établissement en pleine expansion

Alors que le secrétaire d’Etat aux affaires financières internationales Jacques de Watteville était à Washington en visite de deux jours, les Américains laissent planer le doute sur le sort qu’ils réserveront aux 14 banques sous enquêtes

Les milieux bancaires n’avaient pas connu une telle effervescence depuis 2009, année de la mort du secret fiscal. Nombre de banquiers tempêtent contre le programme américain pour régler le différend lié aux clients américains non déclarés. Certains promettent de ne pas y participer. Une stratégie possible, mais pas sans risque

Plus le moment approche d’y souscrire ou non, plus les banquiers doutent de l’accord de régularisation des banques suisses avec le fisc américain

Le conseiller national Christian Lüscher (PLR/GE) veut interpeller la ministre des Finances sur les incohérences et les conséquences dramatiques de l’accord de régularisation des banques avec les Etats-Unis. La fronde politique menace

Selon Emmanuel Genequand, associé chez PwC, les banques qui n’entreront pas dans le programme pourraient courir de gros risques

La date limite pour l’envoi d’une lettre promettant de fournir les détails pour cette opération – toutes les données sur chaque compte lié à un contribuable américain – est le 31 décembre .

Les banques ont jusqu’à lundi pour dire au régulateur si elles souhaitent participer au plan américain. L’effervescence règne dans le secteur. Beaucoup disent encore hésiter

La Suisse passe du 6e au 7e rang de l’index annuel de Transparency International, publié mardi. Elle reste perçue comme l’un des pays les moins corrompus, loin devant l’Afghanistan ou la Corée du Nord. En Europe, le Danemark fait figure de meilleur élève

Les ministres des Finances des Vingt-Huit attendent des précisions avant la fin du premier semestre 2014 quant à la manière dont la Suisse entend adapter sa législation pour abolir les statuts fiscaux controversés

L’Australie préfère inviter la Nouvelle-Zélande voisine au forum qu’elle préside l’an prochain

Xavier Oberson fait le point sur les chantiers en cours

La Suisse passe du 6e au 7e rang de l’index annuel de Transparency International, publié mardi. Elle reste perçue comme l’un des pays les moins corrompus, loin devant l’Afghanistan ou la Corée du Nord. En Europe, le Danemark fait figure de meilleur élève

Place financière. Les experts doivent examiner les défis au niveau national.

Les nouvelles règles de compliance apparues depuis septembre irritent certains clients étrangers de banques suisses. Un avocat parisien s’insurge.

Us program. Ils devront fournir les mêmes documents que ceux ayant tenté de cacher leur argent au fisc.

Les incertitudes et les questions non résolues sont encore trop nombreuses.

GÉRANTS INDÉPENDANTS. Le rôle économique de la réputation personnelle n’est pas pris en compte.

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Programme us. La Finma précise ses exigences en matière de provisions pour les banques participantes. A une semaine du deadline.

Us program. Ils doivent fournir une multitude de documents pour permettre à leur banque de prouver leur conformité face à l’IRS.

évasion fiscale. Le Costa Rica a aussi signé la convention. Obtenant pour sa part la réciprocité des échanges automatiques.

GÉRANTS INDÉPENDANTS. Le rôle économique de la réputation personnelle n’est pas pris en compte

La Finma a été vivement critiquée pour son rôle dans l’«accord» sur les clients américains (US Program). Les encouragements appuyés à participer à ce programme, lancés par le directeur Patrick Raaflaub en fin de semaine dernière, ne vont sans doute pas détendre l’atmosphère. Il est vrai que la...

Soulagement pour les résidents fiscaux de Suisse ayant des biens immobiliers en France après la décision du Conseil d’Etat.

La création du Swiss Finance Council est saluée, même si on juge l’initiative tardive

UBS a décidé d’interdire l’usage de certaines messageries instantanées à ses traders. D’autres établissements pourraient suivre le mouvement

Un des escrocs a été condamné à Zurich pour complicité de gestion déloyale. Sa victime réclame 8 millions de francs à un établissement helvétique

Le Conseil fédéral «encourage» les banques suisses à «envisager sérieusement» de participer à ce programme qui vise à régler le différend fiscal entre les Etats-Unis et la place financière suisse

Beaucoup de banques envisagent sérieusement la possibilité de ne pas participer au programme de régularisation du Département américain de la justice

Dans une tribune dans «Le Temps», Patrick Raaflaub, directeur de l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers, avertit: «Les banques suisses, qui dans le passé ont peut-être violé le droit américain et ne remédient pas à cette situation, seraient mal avisées de compter sur une inaction future de la justice américaine»

Les banques anticipent largement l’assimilation programmée de certaines pratiques de fraude fiscale à du blanchiment d’argent.

Credit Suisse et UBS ont créé le Swiss Finance Council pour mieux faire entendre leur voix à Bruxelles.

La création du Swiss Finance Council, le nouveau lobby d’UBS et de Credit Suisse à Bruxelles, met en évidence la fragmentation du secteur bancaire en Suisse

Depuis le début de l’année, plus de 19.000 Autrichiens ont présenté leurs comptes suisses. A ce total s’ajoutent 4000 personnes qui se sont spontanément dénoncées, a annoncé mardi le Ministère des finances, basé à Vienne. 

...mêmes les banques relativement peu fautives doivent s’attendre à des amendes élevées. Le calcul de ces amendes va de 10% à 300%.

Programme US. Les conséquences d’une participation ou pas. La décision doit être prise d’ici au 9 décembre.

La seconde journée du séminaire de Academy&Finance et L’Agefi a mis vendredi les régulateurs face aux acteurs bancaires.

L’évaluation de la Directive européenne sur les marchés financiers (MiFID II) fait apparaître des intérêts divergents entre les banques suisses principalement actives sur le marché intérieur et celles dont les activités sont axées sur la clientèle étrangère. De nouvelles entraves protectionnistes...

Le Forum mondial de Djakarta s’est achevé vendredi par un long débat sur les coûts et les délais d’application. L’OCDE publiera un premier standard en février 2014

Pascal Saint-Amans, responsable des questions fiscales internationales au sein de l’OCDE, dresse le bilan du 6e Forum mondial à Djakarta

Combien de requêtes sur les clients des banques suisses envoyés par les services fiscaux étrangers? Le point avec Alexandre Dumas, chef du Service de l’assistance en matière fiscale au sein de l’Administration fédérale des contributions à Berne

Intervenant face à un parterre de banquiers genevois, l’avocat Paolo Bernasconi met en garde contre la réaction en chaîne que va provoquer l’obligation pour chaque banque de faire un rapport complet sur sa clientèle américaine, imposée par Washington le 29 août

Une nouvelle association s’est réunie cette semaine pour la première fois. Un lobbying jugé nécessaire alors qu’un postulat veut interdire la monnaie virtuelle

Ocde. Le pays figure aux côtés d’autres paradis fiscaux dans un classement établi par le Forum mondial.

Eveline Widmer-Schlumpf. La Conseillère fédérale répond aux interrogations et critiques des intermédiaires financiers genevois.

Les remèdes proposés concernent la fiscalité et le travail accru des femmes

A Genève, le numéro trois de la BNS a prévenu que la «normalisation» serait bien plus lente que prévu

Le numéro deux bancaire créera aussi une société affiliée pour ses activités helvétiques. Les marchés ont accueilli l’annonce sans enthousiasme

Les bases de l’échange automatique seront «prêtes l’an prochain», selon la conseillère fédérale, présente hier à un colloque réunissant la communauté bancaire genevoise

Lukas Gähwiler, directeur d’UBS Suisse, s’exprime sur les intentions de son établissement de créer une nouvelle entité en Suisse. Une volonté guidée par «des changements réglementaires»

OECD Says Switzerland Still Needs to Become More Transparent

La Commission Triponez a annoncé que les gérants non surveillés d’avoirs de prévoyance (par exemple les gérants indépendants) pourront bénéficier d’une «habilitation» à des conditions facilitées afin d’être en mesure de continuer à exercer leurs activités après le 1er janvier 2014.

Xavier oberson. L’avocat fiscaliste ne comprend pas le référendum lancé en Suisse contre Fatca. Qu’il recommande de ne pas signer.

Berne pourrait sacrifier son projet de loi Fidleg et reprendre la directive européenne MiFid 2, à certaines conditions. Eveline Widmer-Schlumpf rencontre le commissaire Michel Barnier mardi à Luxembourg. Berne pourrait reprendre la loi européenne MiFid 2 et, en contrepartie, accepter l’échange d’informations

Avec  33 exposants, 7 sponsors et un millier de participants, représentés par leurs avatars dans un univers en 3D. L’événement s’inscrit dans le cadre des activités développées par le réseau social de gérants indépendants E-MERGING dont les quelques 1000 entités-membres, originaires de 49 pays, et leurs invités ont participé à la rencontre.

Contrairement aux inquiétudes, le modèle d’affaires a bien résisté pendant la crise. Il ne faudrait pas en déduire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. La réglementation est un enjeu de taille pour le secteur. Par Patrick Dorner, directeur de l’Association suisse des gérants de fortune (ASG)

Le Forum de Djakarta publiera un rapport sur 50 juridictions financières. La Suisse n’est pas notée, mais pourrait subir des pressions

Le taux d’acceptation des initiatives populaires n’a jamais été aussi élevé, selon l’institut gfs. Alors que le taux était nul de 1954 à 1973, il a grimpé à 5% entre 1974 et 1983, puis 6% entre 1984 et 1993, 7% entre 1994 et 2003, avant d’exploser à 27% durant la dernière décennie

18 septembre 2013: interview de Jean Fuchs, Association Luxembourgeoise des Professionnels du Patrimoine (ALPP),

Censé mesurer l’inégalité des revenus, le coefficient de Gini est souvent mal compris. Utile, il demande toutefois certaines précautions pour pouvoir être utilisé à bon escient.

Une telle mesure, prévue à l’horizon 2015, réduirait les exigences de fonds propres imposées à l’établissement